Comment parler du Festival de Flers autrement qu’en termes élogieux ?
Comment, je vous le demande…
Ben je ne sais pas !
D’abord il faisait très beau et ce fut la première bonne idée des organisateurs. Quoi de plus triste qu’un jour gris pour célébrer l’image et la Bande Dessinée…
C’eut été une faute de goût.
L’accueil fut très agréable, le public nombreux et sympathique parce que le festival, installé au coeur de la ville, a su proposer un nombre d’activités et d’expositions larges ne limitant pas la manifestation à une gigantesque séance de dédicaces.
Le festival a surtout innové cette année en rendant l’accès gratuit, permettant à tout le monde d’accéder à notre art (si si c’en est 🙂 ).
C’est cette dernière innovation qui me semble la plus importante et la plus ambitieuse car créer un festival, péréniser son existance (c’est du boulot!), attirer ses acteurs (car autant l’avouer, nous fûmes comme des coqs en pâtes) et l’offrir au public, c’est un merveilleux challenge.
Bravo, longue vie à Ornembulle et à l’année prochaine.